Le monde doit savoir que le net n'est pas si propre
Oh que non, et il est loin d'être si clean que ce qu'il peut paraître. De toute évidence, on occulte volontairement ou pas, le fait que ce support médiatique mis à la disposition de tous, manque cruellement de filtres et de contrôles. Il n'est absolument pas régulé et ce ne sont pas des moteurs de recherches, se donnant bonne conscience en filtrant les sites qu'ils acceptent ou pas au sein de leur base de données, qui pourront efficacement purifier le web de certains sites et de certaines pratiques douteuses orchestrées par l'humain.
Et lorsqu'on parle de perfidie, on veut bien évidement parler de tout ce qui gravite autour de l'e-réputation, cette nouvelle méthode et technique en vogue pour salir la réputation d'une entreprise en usant des avantages et des outils qu'offre le web pour faire proliférer et propager des rumeurs, des mensonges, des bruits de couloir à très grande vitesse. L'assureur IAG a fait les frais de ce genre d'opération, comme nous pouvons le découvrir sur son site dédié à cette affaire et que l'on peut retrouver sur www.iag-contrat.com
Une guerre sale où la vérité n'a pas sa place
Pour comprendre comment procèdent les protagonistes, il suffit de comprendre que vous êtes un des pions en général de son échiquier et que tout transite par votre crédulité ou votre trop-plein de confiance.
Combien de fois avez-vous lu un article sur le mur d'un ami de confiance, lui avez-vous apporté du crédit puis simplement relayé au moyen d'un simple clic de partage pour informer et prévenir à votre tour votre entourage ?
La réponse est obligatoirement : souvent. Et maintenant la seconde question phare : combien de fois avez-vous vérifié la véracité de l'information que vous venez de publier sur le mur de votre réseau social ? La réponse est inévitablement : jamais !
